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Pourquoi tant de haine ? Pour faire plaisir aux commerçants inquiets des ventes des acteurs internet ? Pour contenir les pertes fiscales générées par les achats à l’étranger ? Ou bien tout cela vient-il d’une charge affective décidément excessive et peut-être inconsciente ? Tiens, sur les réseaux sociaux par exemple, les anglophones ont des « Friends » alors qu’en France, nous avons des « Amis ». L’un commence comme free et évoque la liberté, l’autre commence comme amour… Symptomatique, non? Comment ne pas comprendre les réticences à ramener l’amitié, la vraie, à un éphémère compagnonnage électronique ? Et comment éviter dès lors de parler du Web en France sans se référer au registre affectif, moral ou culturel même s’il est d’abord pratique ?
Pourquoi tant de haine ? Pour faire plaisir aux commerçants inquiets des ventes des acteurs internet ? Pour contenir les pertes fiscales générées par les achats à l’étranger ? Ou bien tout cela vient-il d’une charge affective décidément excessive et peut-être inconsciente ? Tiens, sur les réseaux sociaux par exemple, les anglophones ont des « Friends » alors qu’en France, nous avons des « Amis ». L’un commence comme free et évoque la liberté, l’autre commence comme amour… Symptomatique, non? Comment ne pas comprendre les réticences à ramener l’amitié, la vraie, à un éphémère compagnonnage électronique ? Et comment éviter dès lors de parler du Web en France sans se référer au registre affectif, moral ou culturel même s’il est d’abord pratique ?
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Décidemment, nous avons à remettre les choses à leur place dans nos têtes et défaire Internet de ces préjugés bien néfastes au développement de ses utilités. Les entreprises coopératives et mutualistes peuvent y contribuer, ne serait-ce que parce que le web collaboratif, qui s’appuie sur la contribution de chacun, le respect de ses idées, de sa liberté, de ses initiatives, de son expression propre, offre une occasion formidable et utile d’activer les valeurs et savoirs-faires qui leurs sont chers depuis longtemps !
Décidemment, nous avons à remettre les choses à leur place dans nos têtes et défaire Internet de ces préjugés bien néfastes au développement de ses utilités. Les entreprises coopératives et mutualistes peuvent y contribuer, ne serait-ce que parce que le web collaboratif, qui s’appuie sur la contribution de chacun, le respect de ses idées, de sa liberté, de ses initiatives, de son expression propre, offre une occasion formidable et utile d’activer les valeurs et savoirs-faires qui leurs sont chers depuis longtemps !